Trois individus ont été condamnés jeudi à des peines de 3 ans avec sursis à 5 ans de réclusion par le tribunal de Pontoise pour avoir tenté d’incendier un centre de l’opposition au régime des mollahs à Saint-Ouen-l’Aumône en 2023. Un dossier où les commanditaires n’ont pas été identifiés, même si plane l’ombre des services de Téhéran.
L’affaire remonte à l’année 2023, lorsque trois individus ont tenté d’incendier un centre de l’opposition iranienne en France. Le tribunal de Pontoise a rendu son verdict jeudi, condamnant les accusés à des peines allant de 3 ans avec sursis à 5 ans de réclusion. Les trois hommes ont été jugés coupables de tentative d’incendie volontaire dans un lieu recevant du public.
Lors du procès, les prévenus ont nié toute implication dans l’attaque, affirmant qu’ils ignoraient qu’il s’agissait d’un centre de l’opposition iranienne. L’un d’entre eux a déclaré : « Jamais je ne me suis dit que j’allais me mettre dans une affaire avec des Iraniens et tout ça ». Malgré leurs dénégations, les preuves présentées par l’accusation ont été jugées suffisantes pour les condamner.
Cependant, les commanditaires de l’attaque n’ont pas été identifiés lors du procès. Néanmoins, l’ombre des services de Téhéran plane sur cette affaire, laissant supposer une possible implication de l’Iran dans cette tentative d’incendie. Cette hypothèse soulève de nombreuses questions quant aux motivations derrière cette attaque et aux liens éventuels entre les prévenus et le régime des mollahs.
Cette affaire met en lumière les tensions politiques entre l’Iran et l’opposition iranienne en France. Malgré les condamnations prononcées par le tribunal de Pontoise, de nombreuses zones d’ombre persistent autour de cette attaque. Il est essentiel de continuer à enquêter pour faire toute la lumière sur cette affaire et identifier les véritables responsables.
En conclusion, la condamnation des trois individus pour tentative d’incendie d’un centre de l’opposition iranienne en France soulève des interrogations sur les liens entre les prévenus et le régime des mollahs. L’implication éventuelle de l’Iran dans cette affaire reste à dé