La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait une annonce forte lors de son discours annuel sur l’état de l’Union. En effet, elle a proposé des sanctions contre les « ministres extrémistes » israéliens et une suspension partielle de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël. Cette décision fait suite aux récents événements survenus en Israël, notamment les tensions autour de l’annexion de territoires en Cisjordanie.

Cette prise de position de la part de l’UE marque une réelle volonté de condamner les actions des ministres israéliens jugés extrémistes. Ursula von der Leyen a souligné lors de son discours que l’Union européenne ne pouvait rester passive face à des actes contraires aux valeurs et aux principes qu’elle défend. Ainsi, des sanctions pourraient être prises à l’encontre de ces responsables politiques israéliens.

En plus de ces mesures, la présidente de la Commission européenne a également annoncé que l’UE allait utiliser les intérêts des avoirs russes gelés pour accorder un nouveau « prêt de réparation » à l’Ukraine. Cependant, il est important de noter que les actifs russes eux-mêmes ne seront pas touchés.

Cette décision de la Commission européenne marque une nouvelle étape dans les relations entre l’Union européenne et Israël. En prenant des mesures concrètes contre les ministres israéliens jugés extrémistes, l’UE envoie un signal fort quant à sa position vis-à-vis des actions contraires à ses valeurs.

En conclusion, les annonces faites par Ursula von der Leyen lors de son discours sur l’état de l’Union marquent un tournant dans les relations entre l’Union européenne et Israël. La proposition de sanctions contre les ministres israéliens jugés extrémistes ainsi que la suspension partielle de l’accord d’association entre l’UE et Israël témoignent de la volonté de l’UE de condamner fermement les actes contraires à ses valeurs. Il reste à voir quelle sera la réaction des autorités israéliennes face à ces mesures.